L’exil, l’hors de soi et des autres : prendre le vertige à la bouche, mordre comme si de rien n’était, s’inventer de beaux assassinats, mêler des mémoires aux déserts la main coupée sur un bouton de rose. Moulées à cire perdue, les statuettes de l’esprit dansent sur un tapis de squelettes et de braises. Un peu d’acide dans les lyriques va décaper la voix, sortir l’œil de l’os, ménager quelques plaisirs, et désigner l’ivresse sans vin sans verre et sans lèvres.
Détails du livre
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Éditeur
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Langue
Français -
Langue d'origine
Français -
Date de publication
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Nombre de pages
132 -
Directeur de la série
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Thème
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Collection