C’est d’abord un lyrisme de l’amour, ses blasons : l’autre est « l’animal de lumières embrassées ». Voici le vaste ballet dans la nuit protectrice, les caresses « sous-marines » (d’où le titre). Une violence se joue devant les « interdits flamboyants », puis vient la douceur, et surtout de fines connotations avec la Nature. Les sources de la passion (mais sommes-nous toujours dans le premier jardin de l’Éden, comme se plaisent à le croire les amoureux ?), de tendres rêves comme celui d’avoir un enfant, un « enfant de feu de paille », une ironie, une réflexion sur l’être devant l’énergie que donne le désir… sans cesse le cosmos est convoqué à la fête des sens pour « s’arracher de l’absence ».
Détails du livre
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Éditeur
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Langue
Français -
Langue d'origine
Français -
Date de publication
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Nombre de pages
39 -
Thème
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Collection