Lettres vénissianes

Lettres vénissianes

Ces « Lettres vénissianes » sont parues dans les pages du Progrès-Dimanche, entre 1985 et 1988. Son auteur, René Forestier, les signait de ses deux prénoms, René Vincent. Il est de ceux qui pensent que la connaissance d’une ville passe par la mémoire. Donc par celle des hommes qui l’ont faite, l’ont nourrie de leur travail, de leur vie, de leur espoir, de leur folie aussi. Mais il est aussi de ceux qui pensent, comme Joseph Joubert, que l’histoire est bonne à oublier, c’est pour cela qu’elle est bonne à savoir. Il est de ceux qui pensent qu’il faut s’étonner des enfants qui grandissent, des petits-enfants qui viennent au monde, des arbres qui poussent… Il est de ceux qui pensent qu’il est bien de ne pas toucher à mon pote, mais aussi de ne pas toucher à ceux qui ne sont pas mon pote. Il est de ceux qui ravivent les émotions. Excusez-moi de m’être laissée épancher si longuement sur « mes souvenirs », mais c’est de votre faute ; vous êtes si près de nous… lui fait remarquer une lectrice à la fin d’un très long courrier.

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