À Memphis il y a un homme d'une force prodigieuse

« Esthètes du crime considéré comme un des beaux-arts et une exigence de la morale, ils sont quatre, comme les quatre fils Aymon, à se regarder dans les yeux de leur mère, avant d'être abattus à vingt-deux ans par la police. C'est Eschyle et Shakespeare passés dans la Série Noire. » Arts - Gilles Sandier. « Jean Audureau met en fable - lyrique et rougeoyante - les excès fous du complexe d'Œdipe. Son écriture de démiurge lui permet de tout embraser. » Télérama - Fabienne Pascaud. « Œuvre qui n'a pas d'âge, dont le propos s'approche au plus près, qu'il soit possible d'une vérité humaine première, tellurique, irréductible. Immense chant d'amour, qui n'a cure des tabous et des interdits. » Le Soir de Bruxelles - Jacques De Decker. « Sur la voie royale et pouilleuse du crime, ils marchent à grands pas, jusqu'au chambardement final et Kate Barker, grand personnage, chante un admirable thrène. Elle et ses fils tombent, les ruisseaux de leur sang se mêlent enfin. » Les Temps modernes - Renée Saurel.