André Bergeron a popularisé un jour le « grain à moudre », et signé le réformisme à la française. Mais les temps ont changé : la mondialisation de l’économie et la montée du chômage posent de nouveaux problèmes. Le « père tranquille du syndicalisme » ne croit pas que la crise explique tout. Il continue à se battre à sa manière pour que le dialogue remplace la fracture sociale, pour que ne se perde pas la pratique de la concertation et que la politique contractuelle l’emporte sur l’épreuve de force. À travers une histoire méconnue, qui se lit comme le roman d’une vie, l’ancien secrétaire général de Force ouvrière explique aussi comment le syndicalisme pourrait demain négocier son virage.
Détails du livre
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Éditeur
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Langue
Français -
Langue d'origine
Français -
Date de publication
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Nombre de pages
228 -
Thème
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Collection