Mon églantine est-ce que tu crois que nous allons nous perdre dans ce trop grand jardin ? C’est un jardin sur la mer qui va jusqu’en Écosse, jusqu’au pays des fantômes, jusqu’au dieu de la peur. Il n’y a pas de douceur qui tienne ! Le bonheur se jette au vent et à l’eau des heures : le cœur va bien plus vite, bien plus loin. Mon églantine, je ne suis qu’un léger jardinier dont tu tiens la main dont tu tires le cœur au fond des années vertes. Un recueil en prose publié en 1995 par Jean-Pierre Bigeault.
Détails du livre
-
Éditeur
-
Langue
Français -
Langue d'origine
Français -
Date de publication
-
Nombre de pages
144 -
Directeur de la série
-
Thème
-
Collection